La suite, la suite!

L'apéro terminé, Mr Xing s'installait  table, avec la deuxième enveloppe rouge et un masque.

Telle était la nouvelle consigne : : 

Enfiles le masque de satin noir et attends la suite.

Je suis ta servante pour la soirée

 Le laissant seul quelques instant j'allais me changer pour illustrer le thème de la soirée, sa servante, sa soubrette, soumise au moindre de ses désirs.

Je me changeais donc, ne gardant que la guêpière et les bas, j'enfilais un petit tablier blanc et prenais une petite cravache à la main.

 Prenant en cuisine la mise en bouche, premier petit plat du menu aphrodisiaque  préparé pour l'occasion, je me présentais devant Mr Xing, lui demandant d'oter son masque, et en ajoutant: " il est interdit de rire..."

Il n'a pas rit... mais apprécié la tenue et surtout l'idée que j'allais lui être totalement soumise pour la soirée...

Je posais la cravache sur la table près de lui et le repas commença.

 Après la mise en bouche, je le prévins que nous allions jouer à un jeu.

Je sortis deux dés, et une sorte de jeu de l'oie mais avec tirage de carte pour madame et pour monsieur, spécialement concoctées par Angie la petite coquine.

Il faut savoir que ce jeu se déroule en deux phases :

La première phase consiste à "chauffer" l'ambiance, le sexe est évoqué, effleuré, on se touche, se masse, se déshabille, et le repas avance, le gingembre chauffe le palais, et l'on imagine ce que va être la deuxième phase...

Nous en étions donc à la première, très vite Mr s'est retrouvé torse nu.
 

Pour ma part, il n'y avait que le petit tablier à enlever, Mr Xing souhaitait me voir garder le reste.

Pour commencer la semaine, comme promis je vous présente Mr Xing,

 et pour ceux qui ne l'aurait pas vu, voiçi le com qu'il a laissé sur l'article précédent et que je ne me lasse de lire et relire.

"Amis lecteurs et lectrices, si je peux vous faire une confession, c'est que cette douceur je l'aime et toujours aimé depuis près de 23 ans. Quel est le couple qui peut prétendre ça ? avec une telle force et passion.
Oh! certes il y eu une longue et douloureuse séparation, mais je peux le clamer haut et fort je n'ai jamais cessé de penser à elle, la vie ne nous a pas épargné, mais l'amour ne s'est jamais détourné.
Il n'y a pas plus belle déesse qui puisse parler de notre amour, je lui laisse le désir de nous faire découvrir.
" Les yeux échangent leur regard et deux êtres existent ". Expliques leur mon Ange !"

Cet amour, oui, nous le partageons depuis près de 23 ans comme il le dit et si la vie nous a séparés c'était sans doute pour mieux nous faire retrouver.

C'était une belle journée, le soleil brillait comme une promesse, je venais te rejoindre, j'étais devenue une autre personne, fabriquée pour vivre sans toi.

Nous avions rendez-vous sur le parking de l'hôtel, j'étais nerveuse et je me demandais pourquoi tu me faisais venir? Après toutes ces années j'avais appris non seulement à vivre sans toi mais surtout à ne plus croire à mes sentiments et encore moins aux tiens.

J'ai garé ma voiture sous les pins centenaires, la tienne n'était pas là, et je t'ai appelé, tu n'étais pas très loin. Je suis restée dans ma voiture jusqu'à ce que j'entende le bruit caractéristique du moteur la tienne. Tout à coup tu étais là, je restais un moment incapable de descendre, toutes les questions que je m'étais posées jusqu'à aujourd'hui depuis l'annonce de ta venue se bousculaient dans ma tête empêchant mes jambes de bouger. J'ai finalement trouvé la force de sortir de ma voiture et j'ai marché vers toi.

Tu m'as serrée dans tes bras, j'ai senti un nouveau parfum, et nous sommes rentrés au bar de l'hôtel, près de la piscine.

Jamais je n'oublierai ces instants et encore moins ceux qui ont suivi.

 Je ne sais comment nous nous sommes retrouvés dans ta chambre, je ne sais comment ta tête s'est posé sur mon ventre, mais jamais je n'avais ressenti autant d'amour dans tes gestes. Tu respirais éperdument l"effluve de mon désir, ta bouche chaude se posait sur mon bas ventre, tu murmurais quelque chose comme "tu n'es pas à moi", et c'était vrai je ne l'étais pas encore. Nous avons passé quelques heures à nous chercher, à nous toucher à nous sentir, mais la barrière de notre passé m'écrasait autant que la peur de l'après. Je ne cessais de répéter, "Et après"

Tu m'as raccompagnée chez moi, je ne t'ai pas gardé, il y avait quelque chose d'irréel de te voir dans me s murs, nous étions devenus" timides".

 Le lendemain matin à la première heure, nous étions à nouveau ensemble, je ne cessais de te regarder, et l'envie de t'appartenir m'a submergée, ton corps proche du mien est devenu à nouveau comme une évidence. J'ai voulu à nouveau croire à tes mots et me perdre dans tes yeux. Je réalisais soudain que ce dont j'avais rêvé depuis de longues années arrivait. J'ai retrouvé ce bonheur de glisser dans les draps froissés contre ta chaleur, j'ai retrouvé le plaisir de laisser tes mains me parcourir, j'ai retrouvé le parfum de ton corps et retrouvé le chemin de ton désir érigé. Chacun de nos mots, chacun de nos gestes était d'une tendre violence, de celle qui n'appartient qu'à l'amour contenu, refoulé, ignoré, mais qui soudain retrouve le chemin vers nos deux corps mêlés. Nous avons passé des nuits de corps à corps, ne pouvant nous détacher l'un de l'autre, j'avais déjà mal à l'idée de te voir partir, mais en même temps je me sentais à nouveau entière.

Je ne sais comment décrire cette plénitude que j'ai ressenti dans tes bras, c'est comme si ma route s'arrêtait là, comme si un chemin était tracé pour me mener à cet endroit précis, au creux de tes bras. Tu m'as dis un jour, que ma peau est ta peau, c'est exactement cela, ta peau est comme le prolongement de la mienne , je ne ressens pas de différence, nous avons la même chaleur, la même texture, et ce même désir qui coule dans nos veines.

 Aujourd'hui le temps a passé, ces moments sont toujours présents dans ma mémoire, ils ne pourront jamais s'effacer. Nos routes se sont recroisées sur le parking de cet hôtel pour ne plus jamais se défaire."

Après une belle journée, il faut songer au retour, encore tous ces kms à faire...!

Ta main n'a pas tardé à retrouver le chemin de mon plaisir. Le petit bouton laissé à l'abandon quelques heures plus tôt est encore tout gonflé de désir, comme s'il t'attendait. Comme à l'aller, nous traversons des villages, ta main fouille mes lèvres, nous roulons sur des routes sinueuses, ta main ne me lâche pas, tu ne m'autorise pas à jouir, tu me tiens au bout de tes doigts. Parfois, tu sors tes doigts pour les porter à ta bouche, le goût de ce nectar sucré te rend fou aussi, puis tu reviens écarter mes lèvres et les caresses se font plus précises, tes doigts s'enfoncent au carrefour du plaisir.

Cela dure et dure encore et encore, je ressens ce plaisir rien qu'en le racontant, et cette excitation profonde de me dire que les gens dans les autres voitures peuvaient certainement imaginer ce que tu me fais.

Arrivés à la maison, tu ne m'as pas laissé le temps de respirer, juste celui de passer une robe confortable.

Tu m'as assise sur la table de la cuisine, relevé ma robe, et  entre mes jambes, sans la barrière du pantalon, ni celle du string, c'est ta langue qui a pris le relais de tes mains. Tu sais combien j'aime ça, mon corps s'est aussitôt cambré de plaisir. Après ces heures de caresses dans la voiture, j'avais envie de t'avoir en moi sans plus attendre, mais tu en avais encore décidé autrement et c'est encore plus loin dans d'autres jeux que tu m'as entrainée vers la chambre cette fois...

Mon histoire érotique ( suite)

 Alors...

 Certains ont réclamé la suite et voudraient bien savoir si je suis allée à l'aéroport sans culotte...

Mon amour comme tu t'y attendais, je suis allée te chercher en jupe et sans culotte, mais après une si longue absence, j'avais l'impression que l'on devait se réaprivoiser, et ce n'est qu' arrivés à la maison que nos deux corps se sont cherchés, ta main ne m'a pas cherché dans la voiture.

J'entends de là les râleurs, rien à raconter alors d'érotique??

Mais si, mais si, patience, je ne suis pas restée une semaine absente pour vous oublier, enfin si un peu quand même...tellement d'ailleurs que justement j'ai plein de choses très érotiques à vous raconter...

 Donc, cette fois pour la petite histoire, comment rendre un jour de pluie 150kms de voiture très agréable?

Nous avons dû faire un petit déplacement, le beau temps n'étant pas au rendez vous, j'ai mis un pantalon, et nous voilà partis pour de longs kilomètres de route nationale et traversées de villages...

Ta main comme toujours se pose sur ma cuisse et nous discutons tranquillement.

Je sens la chaleur de ta main tout près de mon sexe, et je regrette déjà d'avoir mis un pantalon, car je préfères te sentir directement sur ma cuisse et j'aime lorsque tes doigts s'égarent un peu entre mes jambes.

Ta main à présent s'est posée sur mon sexe, et tu carresse, tu pétris doucement mes lèvres déjà gonflées.

Ce n'est pas un bout de tissu qui t'arrête et te voilà déjà en train de faire glisser la fermeture éclair pour pouvoir glisser ta main sous ma culotte. J'adore cette sensation, ta main me fouille délicatement jusqu'à atteindre mon petit bouton déjà bien épanoui, tes doigts glissent plus bas, toujours plus bas jusqu'à s'introduire délicatement à l'entrée de mon vagin.

Je suis toute mouillée, tu me demandes de faire un peu glisser mon pantalon.

Voilà qui est chose faite, je pose mon blouson sur mes cuisses pour ne pas avoir froid quoique la température de la voiture est plutôt chaude... mais aussi pour que les regards des camionneurs par exemple ne risquent pas de provoquer un accident...Car nous doublons parfois ou croisons des camions, des 4/4, et nul doute que certains d'entre eux aient une vision panoramique de mon petit string noir tout excité par ta belle grosse main ...

Cette main qui continue sans relâche de me caresser, tu as décidé de me faire jouir là dans la voiture et pour le moment tu te délectes de mes petits gémissements que tu ne manques pas de provoquer.

J'ai entrouvert mes cuisses un peu plus, mon pantalon est carrément sur mes chevilles, et je te fais promettre de ne plus me permettre de mettre autre chose que des jupes ou des robes.

Tes doigts se balladent habilement , se faufilent sous le fin tissu, s'insinuent entre mes lèvres, délicatement, parfois plus fort, tes caresses se font de plus en plus précises, je suis littéralement affalées sur le siège, parfois j' ouvre les yeux pour voir que nous traversons je ne sais quelle ville, tu continues, il y a des voitures tout autour de nous, sans doute dois je offrir mon regard jouissant à quelques conducteurs ou conductrices, ça ne m'excite que plus.

Les kms passent sans que je m'en aperçoive, tu me tiens au bout de tes doigts, haletante, au bord de lm jouissance mon string est de plus en plus mouillé, mais cruellement, nous sommes déjà arrivés à destination, tu me dis de me rhabiller et d'attendre le retour...

Les aventures de Tya 

Tya est absorbée par le choix d'une nouvelle tenue sexy pour la soirée d' initiation que lui a promis Marco. Dans ce magasin dédié à l'érotisme, elle va de rayons en rayons, laissant son imagination vagabonder devant les tenues toutes plus sexy les unes que les autres.
Il y a des robes longues, transparentes juste ce qu'il faut, et fendues de haut en bas, ou des robes très courtes à l'inverse, avec quelques petites franges cachant juste le haut des cuisses
Très joli tout ça, mais ce n'est pas ce qu'elle cherche aujourd'hui, elle a pensé à une jolie guépière noire qui mettrait en valeur sa taille fine. Marco adore les sous- vêtements noirs, là au moins elle est sûre de ne pas le décevoir, avec des bas noirs et un string ouvert, la soirée sera sûrement très sensuelle...En fait elle ne sait pas au juste ce que Marco entend par soirée d'initiation"? Il n'a rien voulu lui dire, elle a juste pour consigne de se parer de presque rien mais d'être sexy.

Une heure plus tard et plusieurs tenues à essayer dans les bras, Tya est dans la luxueuse cabine d'essayage. Epaisse moquette au sol, rideau de velours rouge, et un grand miroir où elle peut s'admirer à loisir.

Tya commence par  un superbe bustier à lacets, elle en a envie depuis longtemps, son amie Emma en a un avec lequel elle a fait de superbes photos avec Margot une belle brune qui portait le même pour l'occasion...
Puis elle passe la guêpière noire, et des bas noirs, classique, mais efficace, elle se sent déjà toute excitée.

Le rideau s' entrouvre avant même que la vendeuse ait demandé

-Tout va bien, je peux voir pour les tailles?

Tya sent son regard  professionnel se poser sur elle, elle s'approche, effleure le tissu par-là, suit la courbe des reins. Elle tombe parfaitement cette guêpière, elle est faite pour vous, voulez vous l'essayer avec des cuissardes juste pour vous donner une idée?

Tya n'a jamais porté de cuissardes, mais cela fait longtemps qu'elle en a envie, c'est l'occasion de voir comment elle se sent avec.

-Oui d'accord dit-elle.

La vendeuse revient avec une somptueuse paire de cuissardes.

-Asseyez-vous, je vais vous aider à les enfiler dit la vendeuse.

Tya s'enfonce dans le petit fauteuil posé dans l'angle de la cabine. Le miroir en face lui offre la vue de ses longues jambes gainées de voile noir, et de la vendeuse qui s'agenouille à ses pieds. Elle n'a jamais ressenti ce trouble auparavant, c'est la première fois qu'elle se trouve si proche d'une femme dans une tenue si légère.

Le parfum de la jeune femme effleure ses narines. Tya est très sensible aux parfums, c'est souvent ce qu'elle retient le mieux d'une personne. Elle est troublée par la note sensuelle de ce parfum, des senteurs chaudes et subtiles, mais légères en même temps, elle n'aime pas les parfums lourds et capiteux.

La vendeuse commence à lui enfiler les bottes, ses gestes sont précis mais elle les effectue avec lenteur, comme pour caresser. Tya sent le trouble envahir son entrejambe, elle doit écarter légèrement les cuisses pour aider à l'enfilage du fourreau de cuir. La jeune femme toujours à genoux à ses pieds lève des yeux vers elle qui en disent long sur son trouble aussi. Tya se met à imaginer les mains de cette fille remontant le long de ses cuisses et s'attardant  à la limite du string avant de glisser un doigt sous le fin tissu. Puis, elle écarterait le petit triangle de dentelle noire et s'approcherait pour goûter de ses lèvres au nectar sucré. Jamais une langue féminine n'a touché Tya, c'est l'un de ses fantasmes et Marco qui n'est pas contre lui a promis son initiation pour le week-end prochain? Tya ne sait pas trop ce que Marco entend par initiation, mais elle lui fait confiance.

En tous cas, là, dans cette cabine d'essayage elle a sent bien  à quel point le contact d'une femme lui plait.
La vendeuse se relève après l'avoir  aidé à enfile les deux cuissardes.
A t-elle ressenti le même trouble?
Tya jurerait que oui, car une pointe de rouge maquille ses joues, et ce n'est pas du blush...
-Comment trouvez vous?
Ces mots sortent Tya de ses pensées coquines.
-Superbe répond Tya, je crois que je vais prendre le tout,
 je ne trouverai pas mieux je pense, je vous remercie de votre aide.

La vendeuse sort alors de la cabine, écarte le pan de rideau, mais Tya ne s'aperçoit pas qu'elle ne l'a pas refermé complètement. Elle continue de s'admirer, se tourne et se retourne, pose un pied sur le fauteuil, en cambrant les reins, pose les deux genoux sur le fauteuil, les fesses en arrière, cuisses écartées, la tête renversée, dans cette position soumise que Marco aime tant...

A l'extérieur de la cabine un homme est assis, parfaitement dans l'axe du rideau entrouvert, et il ne perd pas un seul des gestes de Tya. Il l'a connaît, un ami l'a lui a présentée  un soir d'été, mais il n'avait pas eu l'occasion de discuter avec elle. Il a bien l'intention de l'attendre et de lui proposer un verre, mais pour le moment,
 il la regarde, et sent son sexe se durcir, cette femme est splendide et cette tenue est très excitante? Comme il aimerait entrer dans cette cabine et s'occuper des fesses qui s'offrent ainsi à sa vue...

Tu aimes que je t'emmène dans mes jeux érotiques.

Comme venir te chercher à l'aéroport en jupette et sans culotte...

La dernière fois tu ne t'y attendais pas.

Bottes de cuir talons aiguilles, jupette courte et long manteau, je t'attendais "sagement" dans le hall de l'aéroport.

J'étais toute excitée en me demandant à quel moment tu allais te rendre compte de la température qui régnait entre mes jambes...

Autant tu n'es pas très démonstratif en public, même après des mois de séparation autant, sitôt dans la voiture, à peine sorti du parking de l'aéroport que déjà ta main se glissait sous ma jupe...Surprise!

Tu conduisais mais ta main ne m'a pas quitté , tes doigts s'insinuaient doucement dans les replis de mon désir et je glissai mes fesses vers le bord du siège entrouvant un peu plus mes jambes pour mieux m'offrir à tes caresses.

Puis ma main s'égarait à son tour sur ton sexe durci, avec une irrésistible envie de venir m'y empaler sans tarder. Mais malheureusement nous avions un impératif horaire et l'autoroute n'est pas très indiquée pour des arrêts coquins.

Sortis de l'autoroute, tu t'es arrêté quand même sur le bord de la route, passaient des voitures, mais il faisait nuit et j'ai pris ton sexe dans ma bouche pendant que tes doigts continuaient de me fouiller. La température montait dans la voiture et j'avais une folle envie que tu me prennes là, à quatre pattes sur le siège, à moins que je ne vienne m'asseoir sur toi.

Mais l'heure tournait, et il était impossible de continuer, nous nous sommes tant bien que mal rhabillés et c'est avec la flamme coquine dans les yeux que nous sommes arrivés à l'heure à notre rendez-vous.

Hier tu m'as demandé si la prochaine fois que tu viens, je viendrai aussi te chercher sans culotte...


Désolée, je n'ai pas de photos pour illustrer, j'entends d'ici les râleurs habitués aux photos, ben non, cette fois pas de photos...

Des Groenlands et des Norvèges
Vient-elle avec Séraphita ?
Est-ce la Madone des neiges,
Un sphinx blanc que l'hiver sculpta,

Sphinx enterré par l'avalanche,
Gardien des glaciers étoilés,
Et qui, sous sa poitrine blanche,
Cache de blancs secrets gelés ?

Sous la glace où calme il repose,
Oh ! qui pourra fondre ce coeur !
Oh ! qui pourra mettre un ton rose
Dans cette implacable blancheur !

 C'était : Symphonie en blanc majeur

Théophile GAUTIER (1811-1872)
(Recueil : Emaux et camées)

Lizabuzz, le robot qui critique tes blogs préférés.

Bien que je n'ai vu sur ce site que des critiques positives soit dit en passant plutôt même que des compliments sur les blogs, ça m'a tout de même fait plaisir de lire ce commentaire de Lizzabuz sur moi...
Etje ne résiste pas au plaisir de vous le montrer:

Lisabuzz.com parle de Sensuelangie :
 Bien que Sensuelangie soit signé Angie, on a du mal à croire qu une telle merveille puisse être le produit du travail d une seule et même personne, tant ce blog est riche, complexe, troublant comme un impromptu de Schubert. Je ne doute pas que Sensuelangie soit dédié aux internautes les plus intelligents, exigeants. Comme diraient les écossais : A masterpiece ! signé http://blog.lisabuzz.com