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Lundi 12 mai 1 12 /05 /Mai 23:21

Pour commencer la semaine, comme promis je vous présente Mr Xing,

 et pour ceux qui ne l'aurait pas vu, voiçi le com qu'il a laissé sur l'article précédent et que je ne me lasse de lire et relire.

 

"Amis lecteurs et lectrices, si je peux vous faire une confession, c'est que cette douceur je l'aime et toujours aimé depuis près de 23 ans. Quel est le couple qui peut prétendre ça ? avec une telle force et passion.
Oh! certes il y eu une longue et douloureuse séparation, mais je peux le clamer haut et fort je n'ai jamais cessé de penser à elle, la vie ne nous a pas épargné, mais l'amour ne s'est jamais détourné.
Il n'y a pas plus belle déesse qui puisse parler de notre amour, je lui laisse le désir de nous faire découvrir.
" Les yeux échangent leur regard et deux êtres existent ". Expliques leur mon Ange !"

 

Cet amour, oui, nous le partageons depuis près de 23 ans comme il le dit et si la vie nous a séparés c'était sans doute pour mieux nous faire retrouver.

 

C'était une belle journée, le soleil brillait comme une promesse, je venais te rejoindre, j'étais devenue une autre personne, fabriquée pour vivre sans toi.

Nous avions rendez-vous sur le parking de l'hôtel, j'étais nerveuse et je me demandais pourquoi tu me faisais venir? Après toutes ces années j'avais appris non seulement à vivre sans toi mais surtout à ne plus croire à mes sentiments et encore moins aux tiens.

J'ai garé ma voiture sous les pins centenaires, la tienne n'était pas là, et je t'ai appelé, tu n'étais pas très loin. Je suis restée dans ma voiture jusqu'à ce que j'entende le bruit caractéristique du moteur la tienne. Tout à coup tu étais là, je restais un moment incapable de descendre, toutes les questions que je m'étais posées jusqu'à aujourd'hui depuis l'annonce de ta venue se bousculaient dans ma tête empêchant mes jambes de bouger. J'ai finalement trouvé la force de sortir de ma voiture et j'ai marché vers toi.

Tu m'as serrée dans tes bras, j'ai senti un nouveau parfum, et nous sommes rentrés au bar de l'hôtel, près de la piscine.

Jamais je n'oublierai ces instants et encore moins ceux qui ont suivi.

 Je ne sais comment nous nous sommes retrouvés dans ta chambre, je ne sais comment ta tête s'est posé sur mon ventre, mais jamais je n'avais ressenti autant d'amour dans tes gestes. Tu respirais éperdument l"effluve de mon désir, ta bouche chaude se posait sur mon bas ventre, tu murmurais quelque chose comme "tu n'es pas à moi", et c'était vrai je ne l'étais pas encore. Nous avons passé quelques heures à nous chercher, à nous toucher à nous sentir, mais la barrière de notre passé m'écrasait autant que la peur de l'après. Je ne cessais de répéter, "Et après"

Tu m'as raccompagnée chez moi, je ne t'ai pas gardé, il y avait quelque chose d'irréel de te voir dans me s murs, nous étions devenus" timides".

 Le lendemain matin à la première heure, nous étions à nouveau ensemble, je ne cessais de te regarder, et l'envie de t'appartenir m'a submergée, ton corps proche du mien est devenu à nouveau comme une évidence. J'ai voulu à nouveau croire à tes mots et me perdre dans tes yeux. Je réalisais soudain que ce dont j'avais rêvé depuis de longues années arrivait. J'ai retrouvé ce bonheur de glisser dans les draps froissés contre ta chaleur, j'ai retrouvé le plaisir de laisser tes mains me parcourir, j'ai retrouvé le parfum de ton corps et retrouvé le chemin de ton désir érigé. Chacun de nos mots, chacun de nos gestes était d'une tendre violence, de celle qui n'appartient qu'à l'amour contenu, refoulé, ignoré, mais qui soudain retrouve le chemin vers nos deux corps mêlés. Nous avons passé des nuits de corps à corps, ne pouvant nous détacher l'un de l'autre, j'avais déjà mal à l'idée de te voir partir, mais en même temps je me sentais à nouveau entière.

Je ne sais comment décrire cette plénitude que j'ai ressenti dans tes bras, c'est comme si ma route s'arrêtait là, comme si un chemin était tracé pour me mener à cet endroit précis, au creux de tes bras. Tu m'as dis un jour, que ma peau est ta peau, c'est exactement cela, ta peau est comme le prolongement de la mienne , je ne ressens pas de différence, nous avons la même chaleur, la même texture, et ce même désir qui coule dans nos veines.

 Aujourd'hui le temps a passé, ces moments sont toujours présents dans ma mémoire, ils ne pourront jamais s'effacer. Nos routes se sont recroisées sur le parking de cet hôtel pour ne plus jamais se défaire."

Par Angie - Publié dans : Lettres d'amour
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