L'hiver est la saison que j'aime le moins, enfermer mon corps sous une tonne de vêtements n'est pas fait pour me plaire. Grelotter les pieds froids dans mon lit encore moins, vous allez me dire qu'il faut que Mr Xing les réchauffe, mais pour ceux qui lisent un peu et qui ne se contentent pas de regarder les photos comme moi quand je lis un ELLE, vous savez que Mr Xing à mon grand désespoir,ne partage pas mon lit tous les soirs.
Alors pour toutes ces raisons, qaund le froid de l'hiver s'installe, quand mon petit corps réclame de la chaleur, qu'est ce que je fais à votre avis???

Et bien, je prends un bain, un long bain bien chaud.
Toutes lumières éteintes, sauf une ampoule qui change alternativement de couleur, bleue, rouge, jaune, verte...
Une petite musique Zen, les enfants vissées devant Gulli, porte de la salle de bain fermée à clé...
Et je plonge avec délectation dans de l'eau très très chaude, dans laquelle j'ai rajouté un kilo de gros sel...La mer me manque...
Je ferme les yeux, et c'est la detente qui s'installe en quelques secondes.
L'eau, la chaleur, et...que manque t-il?...
Mais que se passe t-il donc sous l'eau, je n'ai pourtant pas un bain bouillonant, quel est ce petit remou qui agite l'eau, là juste entre mes cuisses?...
Un petit canard!
Je croyais avoir cessé de barboter avec des animaux en plastic depuis l'age de 7 ans au moins...
Mais non, un petit canard se trémousse entre mes cuisses, victime d'une grande fille de...plus de 7 ans ...
En fait de bain je m'accorde la plus délicieuse des pauses, coquine, solitaire, l'eau chaude s'imisce dans mes replis intimes chaque fois que bougent mes doigts, le petit canard en plastic disparait tête la première dans la grotte ainsi réchauffée. Il ne faut pas longtemps pour que tout mon corps participe à cette fête intime, mes seins s'érigent malgré la chaleur, et mon esprit s'égare quelque part là où Mr Xing a laissé sa dernière empreinte.
Des images viennent et le film qui passe m'érotise encore plus, je m'abandonne à moi même, je me laisse aller complétement à cette jouissance qui monte, monte, monte, j'étouffe les petits cris rauques qui veulent s'echapper de ma gorge, prémices du dernier acte, de ce moment où je ne controle plus rien , et mon corps se tend comme un arc, pendant que des soubressauts l'agitent jusqu'à la jouissance.


 Désolée de n'avoir pas de photo à vous proposer, mais le bain avec le déclencheur, c'est dangereux, je prefère voir le canard plutôt que mon numérique dans l'eau...
Par contre, sur la table, pas de problème pour poser l'appareil...