Charme, sensualité, érotisme

Je dois bien avouer que j'attendais assez fébrilement la publication de cette nouvelle série. J'aime beaucoup le poème que tu as choisi pour l'illustrer et également beaucoup cette chanson. Pas sure d'aimer, pas sure de pouvoir donner je me souviens de ces mots à cet instant et je me souviens t'avoir dit de faire comme tu le sentais mais la suite je te laisse la dévoiler plus tard. Bisous doux ma belle

merci pour cette porte ouverte sur la sensualité de deux jolie coquines..... bisoussssssss

Je ne fait pas de bruit je ne parle pas j'attends la suite.. Bises

Coucou les filles, Je regarde en silence... l'émotion est là.. Deux belles femmes qui s'enlacent tendrement et en toute sensualité, c'est très beau !! Vous êtes très belle toutes les deux... Très belle photo J'attends la suite, et dans cette attente, je vous envoie un doux baiser !! Amicalement Talon&Aiguille

Vous êtes très gentilles de nous laisser vous regarder dans ce moment si intense de vos vies. Vous gardez toujours des surprises !

Vous avez eu raison d'aller plus loin et j'espère que cette bi-complicité ne fait que commencer, et le feu qui brûle devenir un brasier... Je vous dédie ce poème de Renée Vivien, une femme poète qui a écris les plus poèmes d'amour à ses amies et/ou conquêtes féminines... Réciproquement, il vous va bien... À la Femme aimée Lorsque tu vins, à pas réfléchis, dans la brume, Le ciel mêlait aux ors le cristal et l’airain. Ton corps se devinait, ondoiement incertain, Plus souple que la vague et plus frais que l’écume. Le soir d’été semblait un rêve oriental De rose et de santal. Je tremblais. De longs lys religieux et blêmes Se mouraient dans tes mains, comme des cierges froids. Leurs parfums expirants s’échappaient de tes doigts En le souffle pâmé des angoisses suprêmes. De tes clairs vêtements s’exhalaient tour à tour L’agonie et l’amour. Je sentis frissonner sur mes lèvres muettes La douceur et l’effroi de ton premier baiser. Sous tes pas, j’entendis les lyres se briser En criant vers le ciel l’ennui fier des poètes Parmi des flots de sons languissamment décrus, Blonde, tu m’apparus. Et l’esprit assoiffé d’éternel, d’impossible, D’infini, je voulus moduler largement Un hymne de magie et d’émerveillement. Mais la strophe monta bégayante et pénible, Reflet naïf, écho puéril, vol heurté, Vers ta Divinité.

ON se croirait derrière une porte à surprendre une scène d'amour. Vraiment trés beau...

hummm la porte entrouverte trop charnel .KISS et a trés vite

belle très belle photo j'aime ce petit coté Voyeur ,beau texte et surtout très très belle musique qui colle comme un gants a cette série vivement la suite c'est trop beau merci les filles et a toi notre photographe C'est un plaisir pour nous de vous voir et revoir sans aucun doute JIMJIM que du bonheur pour nous et apparemment pour vous également

Un specacle d'une grande beauté, dans l'absolu et ici en particulier... Certainement aussi doux pour nous à voir que pour vous à vivre... Baisers discrets